Des cas de violences liées aux conflits continuent encore à se faire enregistrer dans certaines villes de province de la République Centrafricaine et ceux, malgré les initiatives pour barrer la route à ce phénomène. C’est le cas des déplacés vivants sur le site de PK3, à Bria, dans la préfecture de la Haute Kotto. Vivant dans une précarité, les filles qui sont sur ce site sont exposées à des cas d’agressions sexuelles continues sans aucune réponse gouvernementale. Elles indiquent être oubliée par les autorité du pays.
Le site de PK3 est le plus grand site des déplacés que la RCA a connu depuis le début des crises militaro-politique qui avait plongé le pays dans le chaos. Plus de 50.000 personnes vivaient sur ce site sur une superficie d’environ 3 Kilomètre carrés. Aujourd’hui avec le truchement de certaines organisations d’aide au développement comme l’USAID, un retour volontaire des 8.183 personnes qui y vivent encore est encouragées par un soutien des matériaux de constructions. Les oubliés de Pk3, un reportage de Bélisaire Dorval SAHOUL.
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